Depuis maintenant "3 ans et demi", jemangeducheval.com propose des échanges hors contexte sur la consommation de viandes. Ce site, lancé sans autre but que de proposer une tribune à ceux que l'apparente bonne morale culpabilisante à deux balles, m'a aussi permis de me forger un avis sur la question. Qui, à part les galopeurs du dimanche, se pose la question "mangerais-je un cheval ?". Spontanément, j'aurais cru que l'abondance de boeuf/agneau/poissons expliquait seule la préférence de l'humain pour la dégustation. Mais cela suffit-il pour que l'animal soit jugé comme comestible ? C'est sur cette question intéressante qu'une équipe de scientifiques australiens se sont penchés1. Comment concilier goût pour la viande et amour des animaux ? En très résumé, il a été réalisé des études avec des groupes de personnes pour déterminer l'intelligence d'animaux en fonction du menu, ou du fait qu'un animal soit destiné à l'abattoir. Évidemment, l'animal que l'on s'apprête à consommer est toujours le plus niais... Je vous invite à lire l'article et à le partager largement, surtout la partie qui dit que les plantes pourraient avoir développé, à leur manière une certaine forme d'intelligence. Moralité ? Mangez du cheval, au lieu de torturer mon blé d'amour !
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